anecdotes
Depuis toujours, je suis une fille qui fantasme sur le plan à 3 FFH.
Je passe le week end chez une amie à moi qui a invité un mec. Rapidement l'ambiance commence à se rechauffer, on decide de commencer à le sucer à 2.
On étais tous les 3 très excités, et puis je me suis souvenue que j'avais mes règles 1 jour par mois, aujourd'hui.
Hier soir, je rentre de soirée avec ma meilleure amie (que j'ai bien envie de me faire).
Dans le lit, je commence à la toucher, jusqu'à ce qu'elle m'arrête net et me dise :
"Tu sais, tu n'es pas obligé de faire n'importe quoi pour me faire croire que tu n'es pas gay. Je m'en moque moi hein."
C'est même plus de la friendzone à ce stade...
Afin de varier les plaisirs, je monte sur mon copain en position de l'Andromaque. Je vais et viens sur son sexe et je prends vraiment mon pied. Le voyant fermer les yeux, je pense que c'est pour mieux profiter des sensations que ça lui procure.
J'ai changé d'avis quand je l'ai entendu ronfler tout en étant encore en moi...
Si quelqu'un voit passer mon estime...
Je suis en vacances avec des amis dans un pays étranger.
Les filles sont magnifiques et les soirées épiques : bref, le pied.
Hier soir, j'ai une touche sur la piste de danse, et je compte bien repartir de cette île avec des souvenirs.
J'emmène donc la demoiselle dans ma chambre d'hôtel.
Quelle ne fût pas ma surprise en découvrant que Roberta s'appelait en fait Roberto.
De sacrés souvenirs...
D'abord elle voulait attendre.
Ensuite est venu le stade où on passait à l'acte minimum 4/5 fois par jour.
Ensuite est venu le stade où on le faisait 1x par jour voir tous les deux jours.
Maintenant j'en suis au stade où elle m'envoie des jolies photos avant que je vienne chez elle, comme ça «elle a pas besoin de me les vider».
Ce soir, soirée coquine prévue depuis longtemps avec ma copine.
À elle qui, pour se venger de mon retard du travail, a décidé d'entamer une gâterie, m'a sentie venir, puis s'est arrêtée et a conclue par un
"Dommage, tu es arrivé 3 minutes en retard, et moi je m'arrête 3 secondes en avance."
Au trou que j'ai fait dans le lit.
Cet après-midi, alors que mon père était parti faire une sieste, les choses dérapent entre mon copain et moi.
Comme on sait que le patriarche a le sommeil lourd, il se permet même quelques fessées légères.
Ce soir, pendant le repas, il a foudroyez mon copain du regard et lui lancé froidement :
"Alors Tim, combien est ce que tu as tué de moustiques cet après-midi? J'entendais les sacrées claques que tu te mettais. La prochaine fois appelle moi, je t'aiderais à te les mettre. On ne va pas laisser les moustiques faire leur loi, hein."