Ce soir je couche avec un mec. En plein ébat, il me lâche sans gène "Et ben, on voit que c'est ta première fois".
J'étais tellement gênée qu'il s'en soit rendu compte que j'ai explosé de rire toute seule sous ses yeux désœuvrés.

Bref, il est maintenant parti, et moi j'ai l'air conne, très conne.

Cette nuit, en plein acte à deux doigts de l'orgasme, mon copain a fait une crise d’épilepsie hyper violente.
Paniquée j'ai appelé les pompiers aussitôt.
Ils sont arrives en 2 minutes.

Je me suis donc retrouvée nue devant 3 pompiers et 3 personnes du samu, encore entièrement nue car dans la panique j'avais oublié de m'habiller.

Ma copine ne me proposant presque plus de faire l'amour, il y a quelques temps, j'ai décidé d'avoir une longue discussion avec elle à ce propos.

On est passé d'une fois par semaine à plus du tout...

Devinez qui aurait du fermer sa gueule ?

En pleine levrette j'ai demandé à mon copain de me "lâcher des mots crus."

- "Salade ! Tartare ! Radis !"

Bon, c'était une mauvaise idée mais au moins il a bien rigolé.

Ce week end, je suis chez mon copain.
En début d'après-midi, il m'a sauté dessus pour faire l'amour.
J'ai craqué malgré le fait que j'avais normalement rendez-vous à côté 15 minutes plus tard.

Je suis arrivé 10 minutes en avance à mon rendez-vous.

#NSF

J'aime depuis toujours les rapports un peu sadomasochistes.
Ce soir, petit moment torride avec mon petit ami, qui, du genre doux, n'aime pas les rapports violents.
Il me dit qu'il veut être plus fort que d'habitude pour me faire plaisir. Toute excitée, nous passons à l'acte.

Imaginez ma tête quand il s'arretait toutes les 30 secondes pour demander si ça ne me faissait pas mal...
Adieu mon orgasme.

Petite soirée avec mon copain, on fait ce qu'on a à faire malgré le lit extrêmement grinçant.

Le lendemain, en descendant déjeuné, son père est rentré dans la chambre avec la pipette d'huile pour graisser le lit.

R.I.P

Hier soir, ayant horriblement faim, je rencontre un mec dans un bar, on finit chez lui pour passer aux choses sérieuses.

Tout se passait plutôt normalement, jusqu'à ce que je remarque qu'il mettait sa tête hors du lit de temps en temps...
Intriguée, je lui demande ce qu'il fait.
Tout en continuant à me pénétrer il me dit : "J'ai un toc, je peux pas avaler ma salive pendant le sexe!"

Le mec avait un petit seau dans lequel il crachait.
Euh... C'est par où la sortie déjà ?

L'autre jour, j'ai passé la soirée avec un couple d'amis, qui m'avait assuré qu'il n'y aurait "pas de malaise" et que "je ne tiendrais pas la chandelle".

Ils ont passé le film entier à se toucher et se chauffer.

Moi ?
Je creuse encore un trou suffisamment grand pour nous enterrer, moi, ma gêne et mes couilles énormes.

Hier, je me suis rendu compte que j'étais vraiment seule depuis trop longtemps, quand le Lisopaïne que j'ai sucé pour mon mal de gorge m'a donné des envie de fellation.

Maladie sans folie.