Je suis lesbienne.
Ma copine est enceinte.

N’ayant rien fais depuis quelques jours avec mon copain pour cause de disputes, je lui demande quand se voir (pour se réconcilier sur l'oreiller...).
Celui-ci me répond sèchement qu’il n’est pas dispo et qu’il est toujours fâché.

Déçue, je décide de passer voir ma meilleure amie.

Effectivement, il est toujours fâché, et il semble même décharger sa "colère" dans les fesses de mon "amie".

Hier, ultra chaude, j’entame la fellation de sa vie à mon copain ! Étant donné que son sexe m’obstrue la bouche, je respire fort par le nez.

Il s’est mis à faire du beatbox sur le rythme de mes respirations.

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Hier soir, au milieu de nos ébats, ma copine et moi nous retrouvons dans une position que je n'aime pas, je lui dit alors :

-"Ça te dit qu'on change, je sens rien !"

-"Moi ça fait longtemps que je ne sens plus rien."

Mon mec se masturbe.
Oui c'est tout à fait normal, sauf que lui m'appelle sur mon téléphone quand il le fait pour que je puisse l’entendre jouir.
Pourquoi pas vous me direz.

Et bien parce que c'est ma mère qui répond sur mon portable quand je la conduit quelque part et que la pauvre n'est pas prête de s'en remettre.

Samedi soir, on rentre de boîte avec mon copain, ayant trop picolé et malade, il décide de dormir sur le canapé qui est plus proche des toilettes que ma chambre.

Je me suis levé dans la nuit pour prendre des nouvelles et je l'ai retrouvé dans le noir en 69 avec ma coloc.

Sa réaction quand il m'a vu ?
"Putain, je me disais aussi que ça avait pas le même goût !"

Ma femme et moi avons l'habitude de jeter nos capotes usagées dans la poubelle en les enveloppant de papier aluminium pour ne pas que les enfants les voient.

Aujourd'hui, en rentrant plus tôt d'un voyage d'affaire, je décide de casser un peu la croûte. Une fois fini j'ouvre la poubelle.

Il y avait beaucoup d'alu... vraiment beaucoup.

À mon mari qui à chaque rapport me demande si elle est dedans.
À moi qui, à chaque rapport, ignore la question, car sincèrement je n'en ai aucune idée.

Se masturber.
Se rendre compte que le son du porno est décalé par rapport à l'image.
Remarquer qu'en fait il n'y a pas de son.
Capter que le "son" provient de tes parents qui baisent comme des porcs dans la chambre à côté.

Pleurer.

Hier soir, sur la banquette arrière de ma caisse, j'ai atteint l'orgasme juste quand les policiers ont illuminés ce moment avec une lampe de poche.