Il y a quelques jours j'ai été voir une fille vierge avec qui j'avais des discussions plutôt coquines.

Elle n'a toujours pas compris pourquoi je suis passé du dur au mou quand elle a enlevé sa culotte et m'a dit :
"Par contre ça risque de saigner, j'ai mes règles et je me suis pas épilée comme tu vois."

Ce soir, mon homme a éjaculé en me touchant un mamelon.

Ce soir, apéro avec des potes et ma copine.
À un moment, elle est complètement défoncée et crie "Qui veut remplacer Thibault ce soir ? Il est nul à chier."

C'était déjà dur.
Tous mes potes ont dis "Moi"

Ce soir, je commence à faire l'amour avec mon copain qui vient de rentrer, complètement bourré de sa soirée.
En me prenant il lâche un "Julie" alors que je m'appelle "Sophie".
Je m'arrête alors et me retourne les larmes aux yeux en lui demandant si il m'a trompé.

Il m'a répondu "Pas encore!" en explosant de rire.

Après une nuit assez mouvementée avec ma copine vient l'heure du réveil.
Je vais dans la cuisine où je croise son père. Il me dit :
"D'habitude, quand elle gueule, c'est plutôt qu'elle est pas contente!"

Moment de gêne intense.

Quand mon mec croit qu'il me fait jouir alors que j'ai l'impression de me faire poncer la minette.

À lui et sa barbe de 2 jours.

Hier soir je demande à mon copain de me faire l'amour en écoutant la musique qu'il veut.

Hommage à moi quand il a mis :
"T'es juste ma pote" de Guizmo.

Pour me faire accepter ses pets vaginaux, ma copine m'a littéralement dit :
"Allez, c'est aussi cool que si tu rentrais dans une pâte à prout !"

À mon enfance brisée.

- Si la France bat les blacks, tu me fais ce que tu veux!

- Sodomie?

- J'ai dis ce que tu veux!

Donnez moi un fusil.

Je tiens à préciser pour qu'on comprenne mieux la suite, que la wifi est très limitée chez moi.
J'étais dans mon lit, tard le soir, avec ma copine, et nous étions en train d'effectuer un magnifique 69.

Mon frère de 14 ans est entré en trombe dans ma chambre pour nous demander d’arrêter de pomper l'internet.
J'ai hésité un quart de seconde entre me rhabiller ni vu ni connu, me jeter sur lui pour l'assassiner, ou lui gueuler que c’était autre chose qu'on pompait.