Ma copine a la fâcheuse habitude de péter pendant qu'on fait l'amour.

J'aurais dû m'abstenir de vouloir faire l'amour le soir où on a mangé des haricots blancs.

Un coup de rein, un pet. Un coup de rein, un pet. En plus l'odeur était insoutenable.

Alors que je faisais à manger, mon copain vient me prendre par derrière et commence à me caresser. Ça chauffe et je descends vers son pénis pour lui faire une fellation.

D'un seul coup il y a eu une odeur d'égout. Sur le coup j'ai pensé au lavabo vu que j'étais à côté était mais non...

C'était le pénis de mon copain.

Apres une journée de cours, avec ma copine on a décidé de s’approprier un amphi pour faire nos affaires. Comme par hasard c’est à ce moment la qu’un prof a eu la bonne idée de rentrer dans la salle.

Il a pas trouvé mieux à dire que "Ah... bah y’a du monde ici..." pendant que ma copine à moitié à poil est restée devant lui tétanisée par la panique.

Les bails à la fac ? Plus jamais.

À ma copine parano qui veut qu'on le fasse sans capote malgré qu'elle prenne la pilule et qu'on ait fait nos dépistages.

À cette capote qui me sert le tuyau.

À ce tuyau qui refuse de gicler au bout de 40 minutes.

À ces 40 minutes de cardio qui procurent un plaisir intense a ma copine, mais qui, à moi, procurent des crampes de dingues car j'ai 0 cardio.

JE N'EN PEUX PLUS !

Ce soir je me prépare à l'arrivé de mon homme. En petite tenue, je me menotte à une chaise et j'attends un petit moment.

Tout à coup la porte s'ouvre. J'entends mon homme parler avec quelqu'un, ce quelqu'un c'est... mon beau-père.

La honte.

Je reçois un message me proposant un plan à 3 le soir même. J'accepte et je les reçois chez moi.

C'était sans compter sur le fait que la fille n'était pas bi et que le mec avec qui je suis partie dans la chambre débandait avec une capote.

Résultats des courses : 2 inconnus ont baisé chez moi pendant que j'étais dans le salon. Au final je n'ai eu ni plan à 3 ni de rapport.

Je suis précoce et j'ai demandé à un pote de m'aider pour satisfaire ma copine (sous entendu de me donner quelques conseils).

Devinez qui j'ai trouvé en train de "m'aider" quand je suis rentré plus tôt de la fac ?

Je ne crois plus en l'amitié.

Mon copain et moi étions en plein acte torride quand un coup un peu trop brusque sur le mur a fait tomber le cactus posé sur l'étagère.

Moi ? Je vais bien.
Mon copain ? Il s'est pris le cactus en plein dans le dos et il a mal. Très mal.

Moment câlin avec mon nouveau plan.

Je sens que les choses commencent à déraper alors je le préviens que j'ai mes règles mais il me dit que ça ne le dérange pas. Au bout d'un moment, très excitée, je pars enlever mon tampon et là... impossible de le retirer car j'avais coupé la ficelle un peu trop à ras.

Je vais le voir et lui dis qu'il va falloir qu'on en reste là pour l'instant. Après qu'il ait insisté je lui explique mon problème. Gros malaise quand il m'a dit : "Ne t'inquiète pas, je suis gynécologue !" Du coup devinez qui est parti à la recherche de mon tampon et qui l'a ensuite brandi telle une victoire.

Oui, notre vie sexuelle a commencé de manière assez atypique.

Dimanche matin, au réveil, en commençant à caresser mon chéri, je lui demande s'il veut faire l'amour.

Sa réponse ? "J'ai pas vraiment le choix..."

Je me suis levée vexée. Lui, connu pour son attachement extrême au sens des mots et de la formule, m'assure que cela voulait dire "Je ne peux pas te résister" et que je suis trop susceptible.

Il n'a pas d'autre choix que de partir pour sa semaine de travail les couilles pleines.